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Infos FNATH N°218 - Juillet 2013
Cotisations 2014 En privilégiant une hausse modérée de la carte adhérent et de la carte bienfaiteur en 2014, respectivement à 55 et 96 euros, les 200 participants à l’assemblée générale ont montré qu’ils souhaitaient remercier leurs adhérents les plus fidèles, sans qui l’action de la FNATH ne serait pas possible. Le coût du service juridique a été au coeur des discussions. L’étude conduite par l’IUT de Saint Etienne, sur le prix de traitement des dossiers juridiques a permis de confirmer que ce dernier est encore aujourd’hui entre trois et quatre fois plus élevé que ne le sont nos cotisations. Ainsi un dossier coûte à la FNATH aux alentours de 600 euros voire 800 euros, une fois pris en compte l’ensemble des frais directs ou indirects liés à son traitement. C’est ce qui a conduit la FNATH a adopté une forte revalorisation de cette cotisation pour des adhérents qui se considèrent de plus en plus comme des clients, sans véritable solidarité. Elle s’élèvera en 2014 à 174 euros. En outre, une contribution de solidarité, venant en plus des autres cotisations, sera en 2014 proposée aux adhérents qui souhaitent contribuer d’avantage aux combats de la FNATH. Fixée à 10 €, un mêmeadhérent pourra souscrire, si ses moyens le lui permettent, plusieurs contributions solidarités et un reçu fiscal lui sera établi. Elle sera ventilée entre les trois structures de la FNATH. Par ailleurs, le rapport d’activité 2012 a été adopté a une large majorité et une résolution « Pour une véritable prise en compte de la pénibilité au travail » a été adoptée à l’unanimité. Arnaud de Broca | Garantie des accidents de la vie privée Vos vacances d’été à prix sacrifié ! 3e génération La presse a retenu ce mois-ci la publication de notre bande-dessinée sur les accidents domestiques, intitulée « Drôles d’anniversaire ». Mais c’est surtout un dossier défendu par le groupement du Jura, qui a retenu l’attention de la presse locale mais aussi nationale. Un de nos adhérents souhaite faire reconnaître la faute inexcusable de son employeur, qui l’a rendu sourd, son employeur ne l’ayant pas protégé des cris stridents des cochons. Il n'a jamais eu à disposition de protections auditives, pourtant obligatoires à ce niveau de décibels. L'inspection du travail avait estimé que l'ancien porcher travaillait dans des « conditions incompatibles avec la dignité humaine ». | |
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