Facebook

A compter de début décembre, la FNATH va renforcer son activité sur son site facebook. En postant au moins une nouvelle information six jours sur 7, nous souhaitons développer notre visibilité, ainsi que les liens avec d’autres réseaux internet. Dans le cadre de la dynamisation de notre réseau social, nous voyons là un moyen efficace pour prendre la parole, animer et accroitre l’adhésion à nos idées, à nos actions et à nos revendications, et ce sur tous les sujets que nous abordons au fil de l’année. Le potentiel de Facebook en termes de couverture, d’audience et de temps passé par l’internaute est important et donc très prometteur, il devrait permettre à tous de recruter un grand nombre de fans et indirectement des adhérents. Si votre structure départementale ou locale a créé sa propre page Facebook, nous vous proposons aujourd’hui de l’agréger à celle de la Fédération. Vous profiterez ainsi, de la force de frappe nationale. Plus précisément, vous bénéficierez automatiquement, pour vos adhérents, de la mise à jour journalière de l’information qui traite à la fois de problématique nationale et régionale, et vous récupérerez les contacts au niveau national qui sont localisés dans votre région, donc un apport de fans complémentaires. Votre page existera toujours et sera hébergée sur la page de la FNATH. Utiliser les réseaux sociaux, de manière complémentaire et non dispersée, afin de renforcer la diffusion des idées et valeurs véhiculées par l’association entre ainsi pleinement dans notre nouveau projet associatif récemment adopté.

Payer la cotisation 2013 en trois fois : c’est possible

Face à l’interdiction de libeller et de remettre à un tiers des chèques antidatés, la généralisation du prélèvement automatique des cotisations notamment pour les adhérents les plus en difficulté s’impose. De nombreuses structures ont cependant encore des difficultés pour négocier avec leur banque, la mise en place de ce nouveau moyen de paiement, surtout au départ, lorsque les prélèvements sont en nombre réduit. Pour les aider dans la mise en place de cette nouvelle formule qui s’avère aujourd’hui indispensable au développement de la FNATH, la Fédération propose à tous les groupements intéressés, une convention de service. Elle permet à tous les groupements qui souhaitent mettre en place un règlement des cotisations en trois fois sans frais, de sous-traiter cette opération à la trésorerie fédérale, qui réalise, via le logiciel 3 SI, les prélèvements négociés par le groupement. Les cotisations ainsi recouvrées par le siège national sont reversées immédiatement au groupement qui est avisé, des éventuels rejets de prélèvement enregistrés lors de l’opération mensuelle. Cette formule permet aux groupements qui n’ont pas un volume suffisant de prélèvements pour négocier des tarifs intéressants avec leur banque de faire bénéficier leurs adhérent d’une souplesse dans le règlement de leur cotisation, sans avoir à demander un numéro d’émetteur à la Banque de France, puisque c’est celui de la Fédération nationale qui est utilisé. Pour tout renseignement, vous pouvez contacter Alain Riouffreyt au 04 77 49 42 21 au siège fédéral, qui pourra vous adresser un modèle de convention qui fixe les modalités arrêtées pour ce service ouvert à l’ensemble de nos structures.

Forte présence médiatique de la FNATH ces dernières semaines. Après l’organisation de la semaine nationale qui permet une vraie visibilité dans les médias locaux, c’est la semaine pour l’emploi des personnes handicapées qui nous a aussi permis de tirer un bilan négatif de l’emploi des travailleurs handicapés, dont la précarité ne fait que s’accroître (France Info, notamment ainsi que de nombreux journaux). Mais c’est bien sur une victoire juridique obtenue par le groupement de la Vienne que la FNATH a créé le « buzz » : ainsi tous les journaux nationaux et locaux ont repris le portrait de notre adhérent qui a finalement réussi, après la création début mai d’un nouveau tableau de maladie professionnelle, à faire reconnaître l’origine professionnelle de sa maladie de Parkinson, en lien avec l’exposition pendant près de 30 ans à des pesticides. Cette reconnaissance est d’autant plus importante qu’elle est la première. Elle montre que les tableaux de maladies professionnelles permettent de faciliter les formalités des personnes concernées, ainsi que l’importance de la sous-reconnaissance des maladies professionnelles en raison de tableaux peu adaptés ou inexistants. « J’étais dans l’ignorance totale, on ne m’a jamais parlé des risques liés à ces produits : pas de prévention, pas d’information d’un quelconque organisme et encore moins des fabricants ! » rappelle notre adhérent dans le prochain numéro d’A Part Entière, le bimestriel de la FNATH.

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